Projet de réseau "Tour de pièce"

En photo :








Denys

Des 3060/4060 numérisées ou les versions digitales plus récentes?

Tu vas rire (ou pas), mais bien que totalement hors thème à Bruxelbourg aussi, chaque fois que je feuillète un vieux catalogue où sont présentées les 3060/4060, je suis près de craquer.

Bonsoir Pierre

Non, ce ne sont pas des 3060/4060, mais il y a une 37622, matricule 339, avec une A unit et une B unit, sonorisée et une locomotive du coffret de départ 29848, matricule 38C, également avec une A et une B unit.

Mais j'ai fait un mix pour croiser un des châssis de A unit avec celui d'une 3362, ATSF également, mais unité triple A unit, B unit et A unit, de couleur bleue qui s'est retrouvée digitale et sonorisée elle aussi.

La loco quadruple est commandée par un seul décodeur C90 qui pilote les deux moteurs, comme la loco triple d'ailleurs et j'ai accouplé l'ensemble par un timon fixe.

Il m'a fallu confectionner une boite en bois spéciale d'une bonne longueur!

J'ai plusieurs autres F7, triples ou doubles et je les ai toutes modifiées avec deux moteurs, sauf une, en achetant des épaves de 3060 ou autres!

C'est un truc amusant et ces machines ont vraiment un look et une présence intéressante.

J'envisage toujours un grand réseau Tin Plate commutable analogique/digital, raccordé au réseau vitrine, pour faire rouler à la fois (mais pas en même temps!) mes vielles machines analogiques et mes trains US, tous Märklin et tous digitalisés, le tout en voie Modelgleise, ça sera pour plus tard, mais c'est facile : décor réduit à sa plus simple expression!

Denys

Bonjour

Petit stand-by sur le réseau : les beaux jours arrivés, il y a beaucoup d'autres activités qui ne laissent plus le temps nécessaire à l'avancement du réseau!

Cependant, le niveau moins deux avec sa boucle provisoire sert à des essais intensifs de toute sorte de matériels, tant au niveau du franchissement des appareils de voie que de la tenue en voie ainsi que des performances des matériels digitalisés.

Et l'on découvre beaucoup plus de choses que sur un simple ovale d'essai!

Qui remettent en cause beaucoup de certitudes établies, tant au niveau de la voie que du matériel roulant!

Pour ce qui est des digitalisations, je viens d'en parler dans le post correspondant :

https://www.beneluxmodels.net/t563p475-rotor-5-poles

Pour la voie , K en l'occurrence, premier bémol, que j'avais déjà remarqué : elle s'encrasse énormément du fait de son profil plat, avec l'avantage d'offrir une meilleure adhérence.
Par contre, le wagon nettoyeur de Märklin se révèle très décevant, il me va falloir tester le matériel Lux Modellbau.

Ensuite, les aiguilles grand rayon, que ce soient les anciennes à pointe de cœur mobile ou les nouvelles ont les picots qui montent trop haut au dessus des rails de roulement.
Le franchissement n'est pas meilleur sur les anciennes, par contre les pattes de lièvre des anciennes sont isolées, ce qui va permettre de raboter un peu les picots, impossible sur les nouvelles sous peine de courts-circuits.
Inconvénient de cet avantage : la prise de courant par les roues ne se fait que sur le rail extérieur, donc plantage des locos d'origine deux rails avec des essieux isolés et encrassement important du rail extérieur au droit des pattes de lièvre, Louis expliquera pourquoi mieux que moi!
J'espère donc que ma solution de picoter les aiguilles Peco en polarisant le rail traversé sera une meilleure option sur la partie visible!

Comme on pouvait s'y attendre, la mise en œuvre des rails flexibles est très contraignante, mordaches indispensables et confection des hélicoïdes en coupons fixes conseillée!

Dernier point : il y a avec certains matériels, généralement d'origine non Märklin, quelques étincelles au passage des aiguilles, généralement avec du matériel d'origine deux rails, donc usinage ou suppression de quelques picots en perspective, je soupçonne des boudins de roues passant trop près.

L'expérience aidant, j'aurais tendance à plutôt conseiller l'usage de la voie C en grands rayons pour la construction des parties cachée : plus facile à mettre en œuvre et elle s'encrasse moins.

Enfin, mais on le savait : sur la boucle provisoire en R2 avec une contrecourbe d'un élément en R1, certaines voitures ou locos longues déraillent de façon aléatoire, mais ce n'est qu'une boucle provisoire!

Et j'en profite aussi pour tester diverses choses, ces jours des éclairages de voitures : les anciens systèmes avec un frotteur par voiture et des ampoules sont à proscrire : les ampoules chauffent trop et la captation du courant de masse au travers des supports est aléatoire, d'autre part on péjore le roulement des rames.

Bref, encore bien du boulot en perspective avant de continuer cet automne!

Denys

Bonjour

Après moult essais sur ce réseau - pas terminés, Louis arrive sous peu pour finaliser tout un tas de choses pour la transformation en trois rails et digitalisation des TAB 72000 et 6500, plus des platines pour HAG, plus tout un tas de décodeurs divers à tester afin de soit remplacer les ESU s'ils continuent à claquer, soit trouver des décodeurs équivalents plus économiques, je me remets doucement dessus afin de pouvoir planifier pas mal de choses, entre autres les passages de câbles ainsi que l'implantation des postes de commande.

Voici donc le plan avec tous les niveaux superposés, seul moyen de voir où vont se trouver des zones avec des parties cachées pas trop surchargées.



Le rectangle rose représente un conduit de cheminées, en bas à gauche la montée d'escaliers et la rambarde, la passerelle le rectangle avec les gros chiffres de dimensions 200 x 700, avec un espace libre entre la rambarde de l'escalier et la demi-ferme de la charpente, l'écran en hauteur sur un support orientable représenté en rouge, le clavier, souris et centrale sur un tiroir escamotable en vert, les TCO verticaux au droit des gares en bleu.

Qu'en pensez vous?

Denys

Y en a!

Tu veux parler de zones chargées?

En fait elles sont invisibles, regarde à quoi cela devrait ressembler :



La gare de bifurcation avec l'annexe traction, une portion de pleine voie à gauche et la gare de voie unique terminus, mais pas au même niveau.

Denys

Tu roules à droite ou à gauche? Si tu roules à droite, les trains qui arrivent en gare par la droite du réseau n'ont pas accès aux voies du bas du faisceau en gare. Et si tu roules à gauche, le problème se pose en entrant en gare par la gauche.

Circulation à droite, bien sur!

Effectivement, en venant de la droite, on ne peux aller sur le faisceau du bas, mais c'est assumé.

En fait, je me suis plus ou moins inspiré de la gare de bifurcation de St André le Gaz, avant modernisation et électrification dans les années 80, plutôt à l'époque vapeur dans les années 60, en la transposant en circulation à droite; à St André le Gaz, ce n'était pas un faisceau du coté de l'annexe traction, simplement des voies de débord, sans communication avec la voie principale là où j'en ai ajouté une au dessus du pont tournant.

J'ai ajouté cette jonction pour créer une voie de garage sur ce sens de circulation, faciliter des manœuvres de desserte et d'échange de machine.

On a donc les deux voies de passage de la double voie, cette voie pour garage très occasionnel d'un train court, qui sert plus d'accès à l'annexe traction et deux voies de débord.

En haut, on a les deux voies d'accès et de croisement de la voie unique, ce qui nous donne la bifurcation proprement dite du coté gauche mais avec aussi une possibilité de garage pour les deux sens de la double voie avec un long tiroir pour garer un autorail ou un train court en haut à gauche.

Dans la réalité, il y avait un autre faisceau de trois voies au dessus, avec entrée et sortie des deux cotés servant au garage des trains voyageurs omnibus, St André le Gaz étant une gare origine et terminus des trains omnibus en provenance de Lyon.

J'ai volontairement simplifié le plan en l'adaptant à une circulation à droite et donc rajouté la jonction à droite pour pallier à la suppression du faisceau du haut.

Le but est d'obtenir une petite gare de bifurcation double voie vers voie unique avec un passage important de circulations diverses, les deux gares cachées permettant de varier les circulations et d'allonger le parcours car elles constituent un os de chien replié deux fois : la gare cachée du niveau -2 alimente le réseau par le coté droit, les trains qui traversent la gare visible descendent à la gare cachée du niveau -1 par le coté gauche mais ces deux gares cachées comportant chacune une boucle de retournement, cette double voie est en fait une fausse double voie.

Enfin, j'ai pas mal galéré et travaillé pour dessiner ce plan, j'espère que l'exploitation de ce réseau me satisfera car ce n'est pas évident de créer ce thème sur cette surface, avec une boucle de retournement dans chaque gare cachée sans descendre en dessous du R4; ensuite il m'a fallu choisir et faire des compromis : guère de manœuvres possibles mais cependant des échanges de machines justifiés par la présence de l'annexe traction.

Je ne manquerai pas de te solliciter pour l'implantation de la signalisation mécanique Allemande!

Denys

Je ne me permettrai pas le moindre commentaire, tout cela est bien trop complexe eu égard à mes faibles compétences.

Ah si, une chose quand même, ça donne envie

Bonsoir

Non c’est très bien de faire des remarques, comme celle de Pierre qui est très pertinente, c’est comme ça que l’on peut avancer.

Dans le cas de ce projet le plan a été longuement réfléchi, il s’appuie sur la réalité que j’ai pu vivre de l’intérieur pendant suffisamment longtemps et bien sûr après des compromis indispensables pour une transposition en modélisme mais il correspond aussi au souhait que j’avais de reproduire une petite gare de bifurcation avec la possibilité de faire circuler un nombre important de trains sur un réseau bouclé sans qu’il n’en ait l’air.

Denys

Bonjour

Je me suis donc remis à la menuiserie pour avancer l'infrastructure de ce réseau.

Petit souci : mon copain le menuisier a pris sa retraite et vendu son affaire : plus question d'aller utiliser ses machines!
Donc il me va falloir trouver des planches rabotées à la cote, mais il m'en faut relativement peu, ce qui ne rend guère judicieux de partir à 40 km chez un grossiste qui n'aura pas forcément ce que je veux et mon marchand de bois habituel va faire la gueule pour me raboter une aussi petite quantité de planches.
Me voila donc parti chez mon autre fournisseur habituel, genre semi-pro entre GSB et magasin pro, et là, triste constat : absolument rien qui puisse convenir !
Même les tasseaux rabotés de 58 x 58 qui me servaient habituellement à confectionner mes pieds n'étaient pas en stock : la case était vide de chez vide.
Je demande la date au préposé (un nouveau, j'ai appris ensuite que tous les anciens étaient partis ailleurs à la suite du rachat du magasin!) de la prochaine livraison, il me répond "je ne sais pas, on a été livrés hier" !
Aïe, ça commence mal : déjà que d'ordinaire je passe pas mal de temps à trier tous les bois pour éliminer les tordus, les fendus et les moches, je dois me rabattre sur une autre dimension : 70 x 70 et je vais devoir modifier mon système de pieds!

pour les planches de 100 x 20, j'ai une autre solution : il me reste quelques lames de parquet de pin en 200 x 150 qui font environ 23 mm d'épaisseur et une face est bien lisse, je vais tailler dedans et de plus, le pin, c'est plus costaud que le sapin, mais plus lourd aussi.

Mais gros boulot : il me faut tout déligner avec la scie plongeante sur règle et c'est beaucoup plus long, ma circulaire sur rail ne passant que 60 cm de long!

Enfin, on y arrive et voici le premier module réalisé et monté, celui de la jonction à droite avec les hélicoïdes et le retour vers la passerelle.





J'ai donc modifié mon système de pieds sur platine et j'ai adopté la méthode d'Olivier : sur celui-ci, j'ai mis des pieds de 70 x 40, mazis je ne peux plus monter mes renforts d'angle qui garantissaient l'équerrage et je trouve cette solution moins propre d'autant que je ne peux monter ça à l'atelier, mais sur plac, sinon ça ne passe plus dans l'escalier.

Denys

Puis je suis passé aux deux modules encadrant la passerelle, comme ils ne supportent rien au dessous du niveau visible, je les ai fait tout de suite à la bonne hauteur, en les faisant reposer sur les modules de jonction.

Ce qui est compliqué, surtout lorsqu'il n'y a pas de renforts d'angle, c'est de bien tenir les planches à l'équerre au montage et être sur de construire des rectangles et non pas des losanges, d'autant plus que dans ce cas, les planches sont parfois un peu cintrées! :

Je me suis fixé sur le bâti de ma scie et assuré le tout avec des serre-joints :



Assemblage habituel avec deux tourillons et deux vis.
Sur ces deux modules, j'ai déligné les planches à 13 cm au lieu de 10 pour plus de stabilité.

Denys

Patricia qui passe me demande : tu fais des petits lits?



Denys

Sur ce module, la voie qui descend de la gare pour rejoindre la gare cachée au niveau -1 est en pente continue à 2,5%, j'ai donc réglé les entretoises pour obtenir cette pente et entaillé l'extrémité pour rattraper la hauteur voulue :




Denys

Pose de ce module et arrimage sur celui de jonction :






Là, les pieds sont en 70 x 70.
Il reste un espace libre de 95 cm au centre du réseau.

Denys

Enfin le dernier module est posé :



Le passage fait 72 cm :



Denys

La menuiserie pour moi, toujours la corvée.

Sinon j'ai fait le même constat que toi lors de l'achat du bois pour les extensions de Bruxelbourg: il n'y a plus rien en stock et de nombreuses découpes et qualités ne sont plus renouvelées.

Reste à arrimer peut-être le grand module au doublage des cheminées, réaliser une jonction au niveau du sol entre les pieds des modules qui encadrent la passerelle, avec un seuil en chêne au dessus qui servira aussi à faire passer des câbles au dessous, réaliser la passerelle qui contrairement à l'usage va se rabattre vers le bas, avec une sécurité pour couper l'alimentation des voies de part et d'autre lorsqu'elle n'est pas en place.

Il faut aussi étudier un système de barrière mobile afin d'arrêter des wagons qui partiraient en dérive depuis la gare : on a une pente continue de 2,5%, par définition le risque n'existe pas de l'autre coté.
Je pense à une barrière se fermant à 90% des voies avec un mouvement horizontal, maintenue fermée au repos et actionnée par un petit servo lorsque la passerelle est en place.

Et puis la construction du module des hélicoïdes : je dois me renseigner, je n'ai pas encore d'idée!

Denys

Rien à dire … j’admire ..

Je viens de faire une petite alimentation provisoire en soudant des fils sur les rails et le conducteur central, en éliminant le rail d'alimentation voie K prévu d'origine.

Comme ça, je peux rouler en deux ou trois rails, analogique et digital!
Pas en même temps bien sûr!
Mais ça permet de faire des essais.

Première constatation: une portion du circuit est encrassée, ça passe en trois rails sans qu'on ne s'en aperçoive, en deux rails les locos hésitent.
Bon, on le savait et même en trois rails il faudra nettoyer, mais c'est moins crucial.

Franchissement des aiguilles élancées voie K en deux rails : les machines à empattement électrique court plantent sur les anciennes à basse vitesse mais passent sans problème sur les nouvelles : intéressant pour construire une voie mixte deux rails/trois rails au club pour le futur réseau : je n'aurai pas à picoter des aiguilles Peco!

Par contre les machines comme les CC 72000 ou les 141 R TAB passent sans souci du fait de leur plus grand nombre d'essieux qui captent le courant avec un empattement plus grand.

Bon, je vais aller chercher la E40 pour faire des essais pour Francis!

Denys

Beau et bon travail Denys.

Pas facile de réaliser des montages parfaits avec des équerrages "au poil".

En plus du manque de disponibilité de certaines pièces de bois, j'ai remarqué aussi que les planches, chevrons et autres sont de plus en plus délignés dans des bois qui ne sont pas secs, ce qui entraîne des déformations parfois énormes quand ils sèchent.

Pour le petit réseau que j'ai commencé il y a 3 mois, j'ai utilisé uniquement des petits chevrons de 60 x 80 pour la structure et les pieds. Le plateau est en OSB rainuré-bouveté. L'ensemble est très solide, je suis même monté dessus, rien ne bouge malgré mes 100 kilos !!!
En revanche, j'ai quand même du insérer quelques petites cales sous certains pieds qui, après 2 ou 3 semaines, ne touchaient plus le sol à cause de la rétractation due au séchage. C'était l'affaire de 1 à 3 mm, mais ça va sans doute continuer à sécher.

Pour le prochain réseau je crois bien que je vais utiliser des pieds en métal.
J'en ai trouvé des réglables de 700 à 1100 mm.
C'est plus cher que le bois (29 € par pied) mais c'est hyper facile à installer et ça ne bouge pas.
Pour le plateau, j'ai utilisé de l'OSB de 18 mm recouvert d'une sous-couche parquet pour le réseau actuel, pour le prochain je pense coller ensemble des panneaux d'OSB plus fins et des panneaux de polyuréthane extrudé.

Bonjour

Je reviens de faire une course à Chambéry et le temps pluvieux m'a incité à pousser la porte de quelques magasins professionnels et de bricolage qui vendent du bois.

Effectivement, le bois n'est pas sec et les magasins pour professionnels vendent très cher du bois qui n'est même pas de bonne qualité!

En GSB, les prix sont moindres, mais il y a à peu près 80 % de la marchandise inutilisable tant les tasseaux et planches sont tordus, vrillés ou fendus!

Une constatation qui pourra servir à tous ceux qui sont équipés d'une scie permettant de déligner proprement des planches : le parquet de pin maritime est beaucoup moins cher que les planches de sapin, on trouve la botte de quatre lames de 140 mm x 21 mm x 2 m aux environs de 25 € TTC, une face est rabotée nickel, l'autre est généralement bien, elles sont droites et le pin, c'est costaud!

Donc, pour tirer des planches de 100 mm de large pour construire la structure des modules, c'est une très bonne solution : robuste, pratique et économique, il faut bien choisir dans le meilleur choix pour ne pas avoir trop de nœuds, et avec les chutes, on peut tailler les équerres d'assemblage et autres.

Denys

Du beau travail, Denys. Je suis admiratif devant ton projet.

Bonjour Denys,

Effectivement, c'est de pire en pire.

Ton conseil est excellent je pense : On ne peut pas faire des lames de parquet (ou de volets) avec du bois qui n'est pas à peu près sec.
Utiliser ce type de lames réduit sans doute les risques.

Cela étant, les chinois ne s'embêtent pas à faire sécher le bois suffisamment longtemps pour faire du parquet, et depuis quelques années on exporte du chêne français en Chine qui revient quelques mois plus tard chez nous en lames de parquet.
J'en ai fait la triste expérience il y a quelques années en achetant du parquet chêne massif dans une enseigne bien connue de revêtements de sols.
Au bout de 2 ou 3 mois mon parquet était gondolé, les lames disjointes, une horreur.
L'expert a conclu : Le parquet avait été réalisé avec du bois qui n'avait que quelques semaines de séchage (et avait d'abord navigué en grumes sans protection pendant un mois !!!)
Heureusement j'ai été intégralement remboursé.
Et j'ai appelé ......... mon carreleur

La solution radicale, selon moi, serait d'oublier le bois et de tout faire en acier ou en alu.
Utiliser des cornières de 30 x 30, 40 x 40 ou 50 x 50 ne revient pas beaucoup plus cher qu'une structure bois.
L'acier se soude très facilement.
Souder l'alu est bien plus compliqué, d'autant qu'il existe une multitude d'alliages d'alu dont certains sont allergiques à la soudure
En l'absence de poste à souder et de compétences en soudure, les boulons et écrous sont là

J'y pense sérieusement car j'ai constaté hier que les pieds de mon réseau ont encore beaucoup bougé depuis 15 jours, avec la chaleur qui arrive, ce n'est sans doute pas fini et je crains le pire.